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Sans coil, un atomiseur reconstructible ne peut pas fonctionner… Indispensables, les résistances peuvent être réalisées soi-même ou au contraire achetées pré-faites. Si vous optez pour des coils déjà faits, vous vous épargnez le plus dur : la réalisation ! Mais tout n’est pas joué pour autant, il vous faut procéder à leur installation.
Après avoir défini vos attentes, vous avez fait l’acquisition d’un coil pré-fait. Vient le moment crucial de le mettre en place dans l’atomiseur. Si votre reconstructible dispose d’un plateau de type postless, c’est à dire sans plot de fixation, il sera nécessaire de couper au préalable les pattes du coil à la bonne longueur. Si votre coil est trop haut ou trop bas, il pourrait toucher le top-cap ou le deck et générer inévitablement un court circuit… Mais si votre atomiseur possède des plots (ou des posts, donc) cette étape n’est pas nécessaire et vous n’aurez qu’à mettre la résistance en place et à couper les pattes après avoir fixé ce fameux coil !
Dans le cas où vous seriez adepte du double coil, il vous faudra simplement répéter la même étape pour placer votre seconde résistance. Attention cependant à utiliser des coils rigoureusement identiques, placés à égale distance des posts. Avec un double coil, la phase de découpe des pattes est généralement assez pénible, du fait du manque d’espace généré par la présence des deux résistances. Armez-vous simplement de patience !
Une fois que votre résistance est correctement installée et fermement maintenue, vous pouvez passez à la phase de stabilisation. Pour vous assurer de ne pas avoir de point chaud, il est indispensable de chauffer le coil afin que ce dernier rougisse légèrement mais de façon uniforme. Pour ce faire, vous devrez actionner votre mod et utiliser une pince en céramique pour resserrer les spires. Cette manipulation peut également être réalisée avec une pince classique, mais attention à ne pas l’utiliser lors de la chauffe ! Stabiliser son coil est une étape cruciale. Une chauffe homogène vous assurera une vape agréable ! Ceci s’applique évidemment aussi au double coil.
Vous pouvez dès à présent mettre le coton en place. Pour vous assurer d’avoir la bonne quantité, le coton doit pouvoir coulisser dans le coil, mais vous devez tout de même ressentir une légère résistance. Si le coton glisse sans mal, c’est qu’il n’y en a pas assez et vous ferez connaissance avec la terreur de tous les vapoteurs : les fuites ! Au contraire, si le coton glisse trop difficilement dans la résistance, c’est que vous en avez mis une dose trop importante. Et qui dit trop de coton dit Dry Hit assuré ! Nous vous conseillons donc de prendre le temps de doser correctement votre coton : le jeu en vaut vraiment la chandelle !
Les coils pré-faits n‘ont plus aucun secret pour vous. Certes plus onéreux à l’achat, ces derniers permettent de s’adonner au reconstructible en s’épargnant de nombreuses contraintes. Et si vous vous tournez vers des coils haut de gamme comme les MPC, vous êtes assurés d’avoir un produit robuste qui vous suivra plusieurs mois ! Bonne vape !
