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Témoignages
ils ont arrêté de fumer grâce à la vape


PARCE QUE PARFOIS, IL SUFFIT D’UNE VOIX FAMILIÈRE

On le sait : les chiffres, les rapports et les arguments scientifiques comptent. Mais parfois, ce dont on a vraiment besoin, c’est d’entendre des histoires vraies. Des récits de personnes qui sont passées par là où vous êtes peut-être aujourd’hui : ce combat quotidien contre la cigarette. Chez Kumulus Vape, nous avons réuni des témoignages authentiques et intégrauxde membres de notre équipe. Ils vous montrent que la vape n’est pas une promesse abstraite, mais une solution concrète.

Notre ÉQUIPE Témoigne

Alexandre V.

« Le lycée, les amis, le besoin de ne pas être en marge… Voilà ce qui m’a fait commencer à fumer. Rapidement, j’ai compris que cette relation serait toxique, mais impossible d’arrêter seul. Mon père, fumeur de pipe et passionné de nouvelles technologies, m’a mis une e-cig entre les mains. Au début, les modèles étaient rudimentaires : peu de vapeur, pas de sensation. Mais avec les nouvelles générations d’appareils, j’ai enfin trouvé le bon équilibre. Depuis ce jour, je n’ai jamais rallumé une cigarette. Finies les odeurs de tabac froid, finie la gorge serrée. Aujourd’hui, je suis fier d’aider à mon tour d’autres fumeurs à faire ce pas décisif. »

Axel G. 

« J’ai commencé à fumer trop jeune, par image et par provocation. Très vite, ma vie a été rythmée par les cigarettes : au réveil, avec le café, avant de partir travailler. Tout tournait autour de ça. Le prix, déjà élevé, devenait insupportable. Puis en 2012, j’ai vu apparaître les premières petites vapes tubulaires dans mon entourage. Je m’y suis mis, d’abord par effet de mode, puis par conviction. Plus d’odeur de cendrier, moins de dépenses, moins d’essoufflement : la différence était évidente. La transition n’a pas été une épreuve, elle s’est imposée naturellement. Aujourd’hui, c’est simple : bye bye la cigarette, place à la vape. »

Boris P.

« Un matin, je me réveille avec une grosseur inquiétante. Heureusement, rien de grave, mais cette peur m’a secoué. Je me suis dit : “Mon pire défaut reste la cigarette. Trop de risques.” J’ai commandé ma première e-cigarette en ligne, un peu au hasard. Puis, en boutique, j’ai trouvé le bon liquide, le bon matériel… et ça a marché. Depuis huit ans, je n’ai pas touché une cigarette. Je suis libéré du tabac. Un jour, ma fille m’a dit : “Papa, si moi j’arrête la tétine, toi tu dois arrêter la vape.” On a passé un deal. Et ça, ça vaut toutes les motivations. »

Vincent L.

« J’étais un gros fumeur : plus de deux paquets par jour. Jusqu’au jour où mon fils de quatre ans m’a lancé deux phrases-chocs : “Papa, tu pues la clope” et surtout “Si tu fumes, tu vivras moins longtemps avec moi ?”. Impossible d’ignorer ça. J’ai arrêté net, suis passé à la vape avec un dosage adapté, et depuis cinq ans je réduis progressivement la nicotine. Les enfants sont nos meilleurs coachs : leur pragmatisme, ça ne pardonne pas. »

Fanny C.

« Ma mère a été la première à passer à la vape, après un pneumothorax. Pas le choix : elle devait arrêter le tabac. Elle s’en est passionnée au point d’en faire son métier, et a motivé presque toute la famille. Moi, je l’ai suivie par solidarité et aussi par peur de connaître le même sort. Aujourd’hui, je ne regrette rien. Mon conseil : ne restez pas seuls. Arrêter de fumer en binôme ou en famille, c’est tellement plus simple et plus motivant. »

Vincent B.

« J’étais prisonnier de la cigarette depuis mes 15 ans. Elle m’apportait l’illusion du réconfort, l’air d’un adulte, une présence dans les moments d’ennui. Mais la peur a fini par s’installer : celle de ne jamais réussir à m’en sortir, celle des rendez-vous angoissants chez l’ORL. Et puis, un 26 décembre, j’ai reçu un colis : deux Ego T, un ancien modèle de vape. Par curiosité, j’ai essayé. La veille, je n’avais aucune intention d’arrêter : j’avais acheté deux cartouches de cigarettes à l’aéroport. Pourtant, depuis ce fameux 26 décembre, je n’ai jamais rallumé une cigarette. La vape a changé ma vie. Et aujourd’hui, je n’ai plus peur de le dire : ça marche, et ça marche vite. En trois jours à peine d’efforts très modestes, la clope peut devenir un souvenir lointain. »

Charlotte W.

« J’étais une petite fumeuse la semaine… et une grosse fumeuse le week-end, un peu comme si j’avais un abonnement “illimité” du samedi soir. Très vite, je me suis sentie mal : je ne supportais pas que mes enfants sentent la cigarette sur moi. En 2018, j’ai poussé la porte d’un magasin de vape. Bien conseillée sur le taux de nicotine et le bon liquide, j’ai arrêté plus vite que prévu. Franchement, être accompagnée par des pros a fait toute la différence. Sept ans plus tard, je vape toujours, et je confirme : mes poumons me disent merci… surtout quand je fais mes squats. »

Marco A.

« J’ai fumé pendant quinze ans, sans vraiment savoir pourquoi ni mesurer les risques. En 2013, ma femme, qui voulait elle aussi arrêter, m’a proposé d’essayer la cigarette électronique. Elle a acheté un kit Ego-T. Honnêtement, je n’avais aucune intention d’arrêter, mais j’ai accepté de jouer le jeu. Je me souviens encore de mon premier e-liquide : fruit de la passion. J’y ai pris du plaisir immédiatement et j’ai compris le potentiel du produit. Curieux et un peu geek, j’ai exploré l’univers de la vape, jusqu’au jour où, en boutique, j’ai découvert la gamme américaine Halo. Le Tribeca, un classic blond légèrement gourmand, a été une révélation. Quatre semaines plus tard, je ne touchais plus une seule cigarette. Et depuis, cela fait déjà douze ans que je n’ai pas refumé. »

Conclusion : des récits qui parlent PLUS FORT que les chiffres

Chaque parcours est différent : certains arrêtent du jour au lendemain, d’autres trouvent leur équilibre en ajustant matériel et e-liquide. Mais tous partagent le même constat : la vape a été le tournant décisif. Ce ne sont pas des slogans, ce sont des voix réelles, celles de femmes et d’hommes qui étaient exactement là où vous êtes peut-être aujourd’hui. Si eux l’ont fait, pourquoi pas vous ?
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